Description
« Écrire et en parler. Sans honte, sans fausse modestie. Le PIJA, c’est un peu comme les Alcooliques Anonymes, sauf que pour le coup on a de quoi être fiers de notre addiction. Et on en sort, de la solitude cachée dans ce besoin de tout coucher sur papier, de tout romancer pour en faire quelque chose de moins moche. De cette ingratitude aussi. Après le PIJA on a le droit d’arrêter la poterie ou les majorettes pour enfin assumer l’activité qui nous anime vraiment ; oui, on est peut-être un peu à côté des habitudes de notre époque, un petit peu décalés quand on fait lire nos textes et un chouïa fuyants quand il s’agit de parler de nos loisirs, mais puisque l’on commence à tâter un peu de reconnaissance dans le milieu, on peut le dire : on écrit. »
Tiré de la préface de Nina Pellegrino, ancienne lauréate du PIJA
Lauréate : Morgane Vannier
2018, 240 pp.
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